L'armistice autrement...(ancienne publication revisitée)

George Lawrence Price, un soldat canadien, aurait été l'un des derniers à tomber au combat. Il a été tué à Mons, en Belgique, à peine deux minutes avant la signature de l'armistice.

Augustin Trébuchon, un Français de 40 ans, a également péri dans les derniers instants de la guerre. Alors qu'il portait un message à son capitaine, une balle de mitrailleuse l'a fauché à 10h50, le 11 novembre 1918.

Henry Gunther, quant à lui, est reconnu comme le dernier soldat américain tué sur le sol français pendant la Grande Guerre, tombant à une minute de l'armistice dans la Meuse.

Chaque témoignage que je ne vais pas décrire ici tente d'emporter comme une médaille du dernier tombé dans cette guerre folle. Est-ce vraiment important de savoir qui est le dernier ? La Première Guerre mondiale a vu de nombreux soldats donner leur vie dans les derniers instants avant l'armistice. Ces hommes, chacun à leur manière, ont donné leur vie jusqu'à la toute dernière minute, incarnant le drame et l'absurdité des guerres qui se prolongent au-delà de la raison.

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Avant de continuer, je tiens à préciser que je suis, Française avant tout, administrativement déjà, mais que je suis également Serbe. Si je vous partage des choses liées à ce pays, c'est parce que nous, les Français et l'Occident en général, avons tendance à ignorer (voire à stigmatiser) ce qui se trouve plus loin. Je sais que les hommes au pouvoir et les médias y sont également pour quelque chose. La création des pensées adéquates, à nous d'ouvrir les yeux pour notre propre salut ! J'évoque ici des généralités, et je suis contente de retrouver des lecteurs curieux sur ce blog.

Également, je me suis intéressée à la Serbie d'abord à cause d'une partie de mes origines, puis j'ai découvert des vérités qui sont complètement effacées ou modifiées chez nous. Ceci date de longtemps, mais continue encore aujourd'hui. C'est grâce à ces recherches, pas uniquement, que j'ai ouvertes les yeux sur beaucoup de choses. Et donc, comme je tiens avant tout à la vérité sourcée, je partage ce que je connais, et ce, dont je peux fournir les documents liés à ce que je vous transmets.

J'en profite aussi pour souligner que je me fiche d'où vient une personne, de ses origines, de sa nationalité, de la couleur de sa peau ou de sa religion. Tout cela ne compte pas pour moi ! Si je m'intéresse à quelqu'un, c'est à la personne elle-même, à son humanité, à savoir si cette personne est bonne. Dans le cas contraire, on perd du temps.

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